La Pastorale

Le caractère chrétien et assomptionniste de l’institut Emmanuel d’ALZON se concrétise à travers l’esprit qui règne dans l’établissement et par le témoignage des personnes qui le font vivre. Le premier responsable de la Pastorale est le Directeur Général Yvan LACHAUD et son adjoint en pastorale, Dominique BONNET. Ils sont accompagnés par quatre animateurs en pastorale scolaire : Véronique ANDREO, Philippe BLAISON, Edward HANNA et Pascal PROVASOLI.

 

Le caractère chrétien et assomptionniste de l’institut Emmanuel d’ALZON se concrétise à travers l’esprit qui règne dans l’établissement et par le témoignage des personnes qui le font vivre. Le premier responsable de la Pastorale est le Directeur Général Yvan LACHAUD et son adjoint en pastorale, Dominique BONNET. Ils sont accompagnés par quatre animateurs en pastorale scolaire : Véronique ANDREO, Philippe BLAISON, Edward HANNA et Pascal PROVASOLI.

En 70 ans de vie, le père d’Alzon a marqué l’Histoire de son empreinte

Emmanuel d’Alzon, le visionnaire

Rien ne prédestinait Emmanuel Daudé d’Alzon à son destin, à part lui-même. Né en 1810 au Vigan, dans une famille portée par des valeurs morales fortes, le jeune enfant s’épanouit au contact de la nature. Et malgré une éducation d’élite, il ne perd pas son goût aventureux. Sans être le premier de la classe, Emmanuel d’alzon est un travailleur acharné qui, très vite, se donnera les moyens de devenir qui il veut être : un chevalier du Christ.

Ordonné prêtre à 24 ans, il s’installe dans le diocèse de Nîmes à partir de 1835 et brûle les étapes par son charisme et ses qualités : un an plus tard, le voilà chanoine et vicaire général honoraire, puis vicaire général trois ans après. « L’esprit large se dévoue à une cause, l’esprit étroit se dévoue à lui-même dans une cause quelconque. » répète-t-il inlassablement. L’éducation dès le plus jeune âge sera, dès lors, une des priorités de sa vie : Carmel à Nîmes, reprise de la Maison de l’Assomption, futur collège de l’Assomption, où la conception de l’éducation d’Emmanuel d’Alzon affirme avec force la responsabilité sociétaire de l’école. Discipline, respect, excellence, des valeurs qu’il fera perdurer pour former des citoyens « lucides et responsables », capables de vivre leur foi tout en éveillant leur esprit et leur conscience.

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Le Père Emmanuel d’ALZON a fondé les Augustins de l’Assomption à Nîmes en 1845, au sein du Collège de l’Assomption (avenue Feuchères). 20 ans plus tard, en 1865, il fonde la branche féminine : les Oblates de l’Assomption pour aider les religieux dans les missions. La devise de l’Assomption se résume dans la simple phrase du Notre Père : « Que ton Règne vienne ».

Les Frères et Sœurs de l’Assomption ne se définissent non par des œuvres mais par un esprit fait de simplicité, de fraternité nourri d’un amour « surnaturel, hardi, désintéressé »pour Jésus-Christ et pour l’Église.

Dès 1873, les Oblates de l’Assomption ouvrent un pensionnat rue Séguier. C’est là que les sœurs se prépareront pour la mission. Un premier groupe partira pour la Bulgarie en 1868 dans le but de travailler à l’unité entre les catholiques de rite latin et de rite oriental. Tout de suite leur mission prend un caractère éducatif, social, médical auprès des plus pauvres.

Aujourd’hui les Oblates de l’Assomption sont environ 700 dans le monde et dans 22 pays environ.

Comme en témoigne la planisphère ci-dessous.

Le corps du Père d’ALZON repose dans la chapelle de l’Institut, rue Séguier auprès de Marie CORRENSON, co-fondatrice des Oblates de l’Assomption.

Face aux épreuves de la vie, Emmanuel d’Alzon répond par toujours plus de combativité et d’abnégation.

Fondation de la congrégation des Augustins de l’Assomption, lancement du quotidien La Croix Revue, il travaillera aussi pour que l’enseignement supérieur devienne libre et il s’appliquera à partager ses idées à travers le monde.

De combats en victoire, d’échecs en remises en question, le père d’Alzon trouvera le repos éternel le 21 décembre 1880. Laissant dernière lui une empreinte indélébile.

Le Père Juvence, nommé par l’évêque, Le Père thierry, Père Christophe au primaire, Le Frère Pascal, Sœur Clair, Sœur Doan, Dominique BONNET, Philippe BLAISON, Pascal PROVASOLI, Véronique ANDREO, Edward HANNA, Muriel SEVENIER, Patrice JEGAT

UNE HEURE HEBDOMADAIRE

CATECHESE
Proposition de la foi catholique

CULTURE RELIGIEUSE
Formation humaine enrichie d’une découverte du monde contemporain prenant en compte le fait religieux.

De la Sixième à la Terminale, les élèves ont dans leur emploi du temps une proposition éducative complémentaire animée par les enseignants, conseilles d’éducation, religieuses et religieux ou intervenants extérieurs et animateurs en pastorale. En Terminale, les élèves ont une heure de culture religieuse tous les quinze jours.

Selon le choix établi par l’élève avec ses parents, il s’agit d’une heure hebdomadaire catéchétique (proposition de la foi catholique) ou de culture religieuses (formation humaine enrichie d’une découverte du monde contemporain prenant en compte le fait religieux)

L'année
  • On peut être baptisé, être confirmé ou communier pour la première fois à tout âge

 

  • Pour le baptême et la première des Communions : On peut s’y préparer à tout âge, au sein de l’institut d’Alzon et en lien avec les Paroisse. Des rencontres spécifiques sont prévues pendant le temps méridien.

 

  • La Profession de Foi est proposée aux élèves de cinquième, et la Confirmation à partir de la troisième.

 

  • Le Sacrement de réconciliation ainsi que l’Eucharistie sont régulièrement proposés aux jeunes des groupes catéchese.